Craque ^^

Remus écoutait le cours de Défense Contre les Forces du Mal d'une oreille un peu moins attentive qu'elle n'aurait due être. Un hibou entra soudain et se posa devant lui pour lui remettre une lettre. Il adressa un petit sourire d'excuse vers la professeur et la prit. Après tout, si il la recevait pendant les cours c'est que c'était important, sinon cela attendait le petit déjeuner et la distribution générale.

Il l'ouvrit sans faire de bruit pour ne pas trop déranger le déroulement du cours et parcourut rapidement les premières lignes. Son regard se figea soudain sur le mot ''condoléances''. Lorsque son cerveau reprit son fonctionnement, il se mit à chercher un nom dans les mots qui défilaient devant ses yeux. Mère.

Il se figea et son visage commença à perdre toutes couleurs. Sans rien dire de plus, il se leva et quitta la salle. Pour ne pas craquer devant tout le monde, pour ne pas que les autres lui posent des questions auxquelles il ne voulait pas répondre. Peut-être que la professeur avait dit quelque chose, il n'en savait rien et s'en fichait.

Il fit quelques mètres dans le couloirs avant de se laisser tomber contre le mur et de se prendre le visage dans les mains.

Lorsque James entrée dans la salle de Défence contre les Force du Mal il avait toujours le sourire aux lèvres. C'était une matière bourré de pratique et de sujet passionnant. C'était pas comme l'Histoire de la magie ou il ne voyait pas l'intéré d'apprendre les guerre entre le Gobelin et les Sorcier de je ne sais quelle date. Franchement.
Le cours d'aujourd'hui porté sur "Sonnets d'un Sorcier". Le professeur expliquer qu'il s'agissait d'un livre ensorcelé, qui poussait son lecteur à ne parlé qu'en vers.
Le sourire de James s'effaça. C'était nul. Il n'y avait rien d'attrayant dans le fait de parler en vers. Il colla ses poings contre ses joues pour empêché sa tête de tomber sur son bureau tant le cours était inintéressant.

C'est alors qu'il vit un Hibou entré dans la salle. Tiens allait il y avoir du mouvement ? Le hiboux noir se posa devant Remus.
Bien que James n'était pas très douer avec les animaux la couleur noir de l'oiseau le fit frissonner. Le hibou ressemblait vaguement à un corbeau..
James le fixa et ne fit, dans un premier temps pas attention à Remus. Mais lorsqu'il tourna la tête vers lui il s'aperçut qu'il était aussi blanc que le hibou était noir. Ses trait fatigué s'était creusé plus qu'un jour de pleine lune. James fit très vite inquiet. Il se tourna vers Sirius qui lui draguer une fille en plein cours.
Le jeune homme lui montra leur Lycanthrope préféré mais celui ci c'était déjà levé et avait presque franchit la porte.

James regarda instinctivement le professeur qui lui fit un signe affirmatif de la tête. Il avait compris qu'ils voulait sortir pour savoir se qu'avait Remus et l'aider dans la mesure du possible.
James bondit de sa chaise sur laquelle il s'était déjà à moitié levé et cours hors de la salle. Les deux maraudeurs les chercher mais ils virent très vite une boule grise un peu plus loin dans le couloir. Le Gryffondor se remit à courir et s'arrêta devant Remus. Il se mit à sa hauteur. Et essaya de capté son regard masqué derrière ses mains. Il vit la lettre et y jeta un coup d'oeil rapide. Il l'indiqua à Sirius et posa une main sur l'épaule de Lunard et se colla contre lui pour le réconforter.

Les maraudeurs était toujours solidaire entre eux et d'une certaine manière il était lier, dans la peine comme dans la tristesse. C'était presque un serment de mariage qui les liaient. Pas de tromperie, la loyauté, pour le meilleur comme pour le pire, dans l'adversité comme dans la solidarité ...

Sirius était entré en classe avec enthousiasme. La Défense Contre les Forces du Mal était sa matière préférée... Et il n'avait pas énormément besoin d'étudier pour se débrouiller. Il allait en profiter pour roupiller...
Il entra en compagnie de James et Remus, et s'assit à leurs côtés en classe. Alors que le cours venait de commencer, Sirius remarqua soudainement une jolie fille aux cheveux bruns de Serdaigle, près de lui. Elle le regardait. Oubliant ainsi toute envie de dormir, il lui fit un grand sourire charmeur et la salua avec une voix séductrice.

Son charme avait l'air de marcher, et il s'en félicita une fois de plus. Avoir confiance en soi n'était pas un défaut... Même si, dans le cas de Sirius, ça devenait de l'arrogance. Ce qu'il voulait, c'était rester populaire. Quand soudain, un bruit d'ailes le sortit de sa conversation. Il tourna brusquement la tête. Il n'était pas normal qu'un hibou arrive pendant les heures de cours! Et cette oiseau ne ressemblait pas tant que ça à un hibou. Cet oiseau était noir... Un corbeau? Sirius déglutit, et tout air d'orgueil s'effaça. La lettre que portait le volatile ne pouvait pas être une bonne nouvelle. Il pria alors pour qu'il ne se pose pas devant lui, ou pire, James ou Remus.

Son ange gardien semblait l'avoir abandonné. Le corbeau se posa devant Remus. Sirius pâlit, ne quittant pas son ami des yeux. L'angoisse l'envahit pendant que le loup-garou parcourait la feuille de regard, avant de devenir plus pale que jamais. Puis il se leva. Sirius n'attendit même pas l'autorisation que le Professeur avait donné à James. Il se leva d'un bond et partit rejoindre Remus. La gorge sèche, James et lui le trouvèrent dans le couloir, assis contre le mur, le visage dans les mains.

Ils s'approchèrent et Sirius s'accroupit auprès de Remus. Puis James lui donna la lettre qu'il ne lut que vaguement. Les derniers mots en disaient suffisement pour qu'il comprenne. Sa mère... Le chien avait beau ne pas connaître l'amour d'une mère à son fils, c'était voir son ami dans un tel état qui le chagrinait à ce point. Alors que James se collait contre Moony, Sirius, lui, passa un bras autour de ses épaules. Il était incapable de parler. Si c'était le cas, il dirait une bêtise. Comme toujours. Il murmura alors:

Rem'... ?

Il se sentait vraiment mal pour lui. Le pauvre Remus avait passé tellement d'épreuves. Pourquoi le sort s'acharnait sur eux? Et même spécialement sur lui?

Remus était totalement perdu dans des réflexions qui n'avaient plus aucun sens. Dès qu'il essayait de tenir une pensée, mille autres choses lui venait en tête si bien que tout s'embrouillait. Il y avait trop de souvenirs avec sa mere, il y avait trop de choses qui n'avaient jamais été mises au clair et sur lesquelles il se posait encore des questions.

Il sursauta en sentant une main se poser sur son épaule. Il releva la tête pour voir James à côté de lui puis fut bientot rejoint par Sirius. Remus était admiratif de leur présence que Remus amai à cet instant. Mais Lunard n'osait pas vraiment les regarder dans les yeux, aussi il ramena son regard vers le sol.

Après quelques instants, il se décida à répondre. Il voulut reprendre la lettre, peut-être pour vérifier, ou alors pour lire ce qui était marqué et ne pas devoir le formuler lui-même. Toujours est-il qu'il ne prit pas la lettre. Il venait d'apercevoir un autre papier qui dépassait de l'enveloppe. Ne se rendant plus vraiment compte du temps qu'il s'était passé depuis que James et Sirius lui avait réconforter, il porta son attention sur le mot.

Il le sortit de l'enveloppe, ce qui ne fut pas une mince affaire étant donné le tremblement de ses doigts.

"Από τα λιβάδια των δύο ετών χτυπιέστε μας διαστασιολογημένα έτσι ώστε μπορεί να έχε μια πιθανότητα για να επιζήσει.

Από τα δύο έτη έχουμε επιδιώξει και ακολουθούμενος των λιβαδιών τα προγράμματα της έρευνας στην ασθένεια, έχουμε ταξιδεψει παντού, συνερχόμενος όλοι εκείνοι που μας φάνηκαν επιδεκτικοί να μας φέρουν μια ελπίδα."

Sans plus réfléchir à ce qu'il faisait, il lâcha la feuille qu'il tenait dans les mains et se raccrocha au bras des deux maraudeurs, laissant les larmes couler le long de ses joues.

James sentit Remus bougeait il avait fermé les yeux car le soleil en face d'eux les éblouissait. Quand il était triste l'envie de dormir lui prenait souvent. Alors avec les deux combiner...
Prongs regarda avec de petit yeux se que faisait son ami et le vie sortir un autre papier. Il regarda se qu'il y avait de marqué mais la, le trou noir. Du Chinois complet pour lui.
Qu'était ce? Des runes? James savait qu'il aurait du prendre cette matière. Mais juste pour être avec Lily.
Bref il n'était pas question de lui ni de Lily maintenant. Remus voulu se lever et s'aida de son bras et de celui de Sirius pour arrivait à ses fins. James se leva à son tour et soutenu le Lycanthrope ne sachant pas se qu'il avait lu cette fois.
Le jeune homme mourrait d'envie de lui demander mais avait une certaine aprèhention. Il ne savait pas qu'elles étaient les relations entre Remus et ses parents. Et s'il ne pouvait pas continuer ses études ou bien que son père veuille l'enlevé de Poudlard. Non c'était inconcevable Lunard allait resté avec eux c'était obliger. Mais s'il en était si sur pourquoi avait il donc peur ?
James fit la mue et par la crainte qui venait de l'envahir demanda soudain.

-Lunard.... c'était... c'était quoi l'autre mot ?

La voix du jeune homme était tremblante, il avait peur d'être maladroit en posant sa question. Peut être qu'il n'avait pas envie d'en parlé.
Surement que cela lui causerais du tord mais James voulait savoir .

Remus sentit au peu de son désespoir s'envoler en même temps que James le serrait contre lui. Peu importait la place qu'avait occupé sa mere pour Remus, ou même celle qu'il occupait encore, il aimait sincèrement les deux jeunes hommes. Et c'était à présent eux qui était le plus important pour Remus.

Alors il allait tout lui raconter... Cela lui ferait peut-être du bien d'en parler. Ou plus simplement, il n'avait pas envie de cacher ce genre de choses au autres maraudeurs. Il s'éloigna un peu des deux jeunes hommes, non pas pour le regarder dans les yeux mais plus pour prendre du recul. Il espérait un peu que cela lui permette de tout expliquer.

- C'est une lettre de mon pere ! Il veut que je retpurne a la maison ! Il ne veut plus que je reste à Poudlard ! Mon pere me donne jusqu' a environ siwx jours pour venir me chercher pour les obseques de ma mere et me garder à la maison apres !

Il ne savait pas vraiment comment expliquer toute cette histoire... Tout d'abord, parler de son pere à James et Sirius n'était pas évident. Mais ce n'était pas comme si cela était du passé pour lui et qu'il n'y avait plus à revenir dessus. Il ne pouvait pas dire cela vu la manière dont il venait de réagir. Sa voix c'était totalement brisée.

- J'ai pas envie d'y allez je prefere rester avec vous et li...

Il ne put pas finir sa phrase. Les mots restaient irrémédiablement bloqués dans sa gorge.

Les craintes du jeune homme furent fondées. James regarda Remus ses traits de visage était grave. Il écoutait son ami mais plus celui ci parlé plus James se sentait mal et son assurance habituelle semblait avoir disparut dans le néant le plus totale.

Que serait les Maraudeurs sans Remus? Ca ne vaudrais plus la peine. Si un membre partait James perdrais une partit de lui même. Il voyait chez chacun d'eux un petit part de lui même. Chez Sirius son égale, chez Peter ses plaisirs cacher , et chez Remus la sagesse et sa droiture refoulé.

La clarté qui l'avait ébouillit quelque instant auparavant sembla s'être à jamais éteint . James jeta un coup d'oeil à Sirius pour voir sa reaction, il était aussi mal que lui. C'est alors qu'il leva les yeux vers le Lycanthrope.

-Lunard c'est pas possible! Y a surement une solution. Peut être que si on en parle à Dumbledore il sera convaincre ton père de te laisser à Poudlard. Je ne connais aucune personne qui est resister aux arguments de Dumbledore. J'imagine que se sera pareil pour ton père.

La voix de James était profonde et semblait venir d'un autre monde. Tout les efforts qu'il faisait pour ne pas craquer s'entendait dans sa voix mais il devait tenir. S'il craquer Remus serait surement encore plus mal.
Mais le jeune Gryffondor fut touché par ce que le loup garou venait de dire il les aimait, bien qu'il l'avait toujours sut James se sentit heureux mais triste à la fois. Et que pouvait bien être la fin de sa phrase? Il ne savait pas mais préféra laisser sa de côté tant que Remus n'était pas sur de rester.

-On veut que tu restes Remus, on va trouvé un solution... on en trouve toujours

Sirius tenait à présent le bras de Remus, et prenait sur lui pour ne pas trembler. Si lui ou James flanchaient, Remus pourrait en être encore plus déstabilisé. Il serra donc les dents pour ne pas laisser ses émotions le trahir. Ses yeux semblaient plus sombres qu'à l'ordinaire. Il regardait un pan de la cape du loup-garou sans la voir, le regard vitreux. Puis James lui tendit de nouveau un autre mot que Remus venait de sortir. Au début, Sirius pensait que son esprit était trop embrouillé pour pouvoir lire ce qui y figurait, mais il se rendit compte par la suite qu'il s'agissait d'une langue qui n'avait rien à voir avec l'anglais. Des runes? Du russe? Du grec peut-être? Il ne savait pas trop, mais au moment où il s'apprêtait à le demander, James le devança.

À la réponse de Remus, Sirius avait l'impression que son coeur s'était arrêté. Son sang s'était soudainement glacé. Si Remus devait partir de Poudlard, les Maraudeurs seraient détruits. Qui les rappelerait à l'ordre désormais? Les pleines lunes ne seraient jamais pareilles... puisque le loup-garou ne serait plus là. Mais ce serait surtout une épreuve terrible pour Moony! Il serait tout seul avec son secret, tout seul lors de ses transformations. Ils seraient tous séparés, et c'était là la plus grande peur de Sirius. Trop choqué pour répondre, James prit les devants et se releva le premier. À ses mots, Padfoot releva le regard à son tour, et approuva les paroles de son ami:

James a raison... Dumbledore trouvera les arguments qu'il faut pour convaincre ton père. C'est grâce à lui si tu es ici avec nous, ça prouve qu'il tient à ta présence lui aussi...

En plus d'essayer de convaincre Remus avec ces mots, il tentait de se convaincre lui-même. Sa voix semblait complètement venue d'une autre personne, tant elle ne lui ressemblait pas. Cette voix était sérieuse et inquiète. Rien à voir avec celle qu'il avait avec la fille de Serdaigle, un peu plus tôt. Il devait bien l'avouer: Il avait peur. Peur que tous ses amis en viennent à se séparer. Et puis, Remus parlait peu de ses parents, et de sa vie chez lui. À part James et Peter, ils avaient tous les deux éviter de parler de leur famille. Mais pourquoi aurait-il fait ça, lui?

Ce qui effrayait le plus Sirius, cependant, était la réaction du père du loup-garou. Peut-être réagirait-il difficilement, si Remus parlait peu de lui...

Un léger sourire passa sur ses lèvres lorsque les deux amis luis disait qui ne veut pas qu'il s'en aille. Ce n'était qu'un pauvre sourire triste et tremblant mais c'était toujours mieux que rien. Il respira profondément pour se calmer. Son regard se troubla soudain en se souvenant d'une phrase que lui avait dite son pere:

- Un jour... mon pere m'a dit que les loup garous n'aimaient qu'une fois ! Je ne sais pas ce qu'il a voulu dire !

Remus ne semblait d'ailleurs plus savoir quoi dire. Il n'y avait rien d'étonnant à cela. En tout cas, les deux maraudeurs était maintenant au courant pour sa mère. Il ne savait pas pas si lui dire était égoïste ou le contraire, mais ce qui est fait est fait.

Néanmoins ce que venait de dire ses amis réconfortait Remus. Après tout ils venait de leur démontrer à quel point il pouvait être faible. Il lui avait raconté la pire chose qu'il n'ai jamais fait et il continuait de l'accepter. Et puis il s'en voulait déjà bien assez lui-même. Il avait encore besoin d'y penser, de tout mettre au clair dans sa tête une bonne fois pour toute mais pas maintenant. Les maraudeurs l'avait déjà assez écouté et laissé pleurer. Cette histoire était son problème et ses amis ne devait pas être obligé de subir tout cela.

- Merci.... Allons vers le lac... J'ai besoin de respirer un peu d'air frais.

Sur ce il se pencha pour récupérer la lettre et la remettre dans son enveloppe. Il la rangea avec ses autres affaires avant de prendre la main de James et Sirius et de se diriger vers le lac.

En voyant Remus sourire, Sirius se sentit déjà mieux... Même s'il savait que ce sourire était un peu forcé. Il lui répondit par un petit sourire triste, peut-être moins misérable que le sien, cela dit. Il ne l'avait jamais vu dans un état pareil. Il semblait plus miteux et fatigué que jamais. Puis Remus parla de ce qu'avait dit son père... À ces mots, Sirius jeta un coup d'oeil à James. Si Moony lui-même n'avait pas bien compris, il ne savait pas trop dans quel sens il devait prendre ces paroles:

Il parlait peut-être d'amour... En ce qui conscerne notre amitié, on te laissera jamais tomber!

Il eut alors un sourire un peu plus franc, commençant à reprendre confiance en lui. Oui, ils ne pouvaient pas être séparés. Ils étaient les Maraudeurs... Dumbledore prendrait aussi les choses en main. Mais le véritable but de ce sourire était de rassurer ses amis, autant Remus que James. Une voix au fond de lui, une voix qu'on appelait l'instinct, lui disait qu'ils allaient restés unis. L'instinct animal peut-être? Un chien a pour principe d'être fidèle, après tout. Et Sirius ne se voyait pas en compagnie d'autres personnes qu'eux. Puis Remus s'agita, demandant à aller au Lac. Il avait sans doute raison. L'air frais leur ferait le plus grand bien... À tous. Il se leva alors, et aida, avec l'aide de James à relever le pauvre Remus. Le cours qui se déroulait toujours lui importait peu désormais. Tout comme la fille de Serdaigle qui lui était complètement sortie de l'esprit. Le sourire qui s'était doucement dessiné sur son visage était resté, comme s'il tentait désespérement de le garder. Comme s'il prévoyait un avenir heureux pour les Maraudeurs. Il remarqua alors que Remus prit sa main dans la sienne, ainsi que celle de James. Sirius pâlit légèrement. Ce geste était étonnant de la part de Remus mais ce qui horrifia le plus Padfoot éait la main qu'il tenait . Elle était affreusement glacée et tremblante...

[Vous voulez que je fasse le sujet au Lac? Je me propose ^^]

[hj va s'y lol]